Indiana jones. Un personnage très populaire, tellement populaire, qu'il fait partie de la culture cinématographique. Toujours imité mais jamais égalé, chaque réalisateur de film d'aventure subit à chaque fois une comparaison avec l'immortel henry jones junior. Mais voila, indy, c'est un peu comme un mythe, un graal, et l'annonce d'un quatrième film a fait l'effet d'une bombe dans notre petit monde. Les fans étaient divisés entre l'éxcitation et la peur bleue qu'on écorche une légende (star wars episode 1?). Dès le premier plan, on remarque que spielberg est toujours aussi doué, la photo et le piqué d'image sont sublimes. Une ambiance années cinquante vraiment chouette, on s'installe confortablement... Mais rien ne vient, l'histoire prend un temps monstre a se mettre en place, harrison ford a pris un coup de vieux et on a du mal à être convaincu. Cate blanchett est ridicule avec sa perruque et le doublage français de cette dernière est a déplorer... Le film paraît long, les énigmes sont bien moins pêchues que les anciens films. La dernière partie du film est de loin la plus interressante, le rythme s'accélère, peut-être pour réveiller un spectateur endormi. Le dénouement de cet épisode peut diviser, mais on laisse à spielberg ce qui est à spielberg, il n'a pas honte de nous livrer une fin à la stargate, et assume son film.
Les fans iront le voir, mais c'est avec nostalgie qu'ils sortiront de la salle, et iront se regarder les "vrais" indiana jones. Un autre point est à soulever, John williams n'est pas prêt pour la retraite, et nous livre une musique fantastique.
Ma note: 2,5/5
dimanche 15 juin 2008
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1 commentaire:
j'ai bien aimé la première partie jusqu'à la poursuite en moto mais après ca doit être Lucas qui prendre les commandes et ça part complètement en vrille !
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